ARTEMA

Chiffres clés

Chiffres clés

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entreprises adhérents
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Salariés

Volume d’affaires ARTEMA en 2019

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à l'export

Les professions d’ARTEMA représentent 7,8 milliards d’euros de chiffre d’affaire, dont 50% à l’export soit 10% supérieur à la moyenne de la Mécanique. Les entreprises de la Mécatronique emploient en France 35 000 personnes.

Le syndicat compte environ 150 adhérents, PME, ETI et groupes internationaux. Les adhérents d’ARTEMA représentent 80% de la production française et 70% du marché français.

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de la production française

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Amérique du nord

EXPORTATIONS-FRANCAISES-ARTEMA

Destinations des exportations françaises des produits des professions d’ARTEMA en 2015

L’Allemagne premier Client des professions d’ARTEMA

Sans surprise, L’Allemagne est le plus gros client de la France pour les produits de nos professions. Elle est destinataire à elle seule de près de 24 % des exports français. Dans l’Europe des 28, un groupe constitué du Royaume-Uni, de la Belgique et de l’Italie totalise chacun autour de 7% des exports. Dans ce club des 7%, les Etats-Unis apparaissent comme le seul membre non européen.

L’Afrique et L’Amérique du Sud totalisent chacun autour de 4% des exports. A noter, les exportations françaises vers l’Amérique du Sud ont baissé de près de 20% par rapport à 2014.
La Chine, est le 7ème plus gros client de la France avec un peu moins de 5% du total des exports.

Bilan

2015

INDICATEUR--ARTEMA-GLOBAL--MARS-2016--retouche

Depuis janvier 2014, les trois courbes du mois étudié, 3 prochains mois et carnet de commandes résument bien la conjoncture globale. Il n’y a plus de tendance haussière ou baissière marquée comme dans les années précédentes, plutôt un long couloir centré autour du zéro. Chacune des courbes suit une évolution très accidentée avec une alternance de baisses et de hausses et il est très rare sur la période que les trois courbes augmentent en même temps.

En traduction, la visibilité n’est toujours pas assez présente, la prudence voire l’incertitude demeure et freine les investissements. Un très léger mieux général s’observe sur le graphe en début de 2016.

L’année 2015, s’est plutôt relativement bien terminée pour nos professions

La chute du prix du Pétrole, des investissements en oil and gas en très forte baisse, le machinisme agricole en berne, un secteur du bâtiment en difficulté, le secteur minier à la peine, des travaux publics au plus bas, une distribution en retrait…beaucoup d’éléments ont contribué à compliquer sérieusement le contexte de cette année 2015.

Mais le constat ne doit pas être trop assombri. Pour autant, certains secteurs comme l’aéronautique, l’automobile, ou l’agroalimentaire sont restés solides. L’éolien est resté très porteur également. Certaines industries qui ont retardé au maximum leur investissement sont « obligées » de réinvestir.

De manière globale, des projets existent, des chiffrages sont faits par les entreprises, mais les mises en série, les conclusions d’affaires ne sortent pas. La visibilité reste toujours faible.

Suivant les professions et les activités des entreprises (niches, activité à l’export…) les situations différent mais globalement, l’année semble finalement s’être achevée en meilleure situation qu’attendue.

Sur le plan international, les marchés chinois et brésiliens ont montré des contre-performances. Les Etats-Unis sont entre deux eaux, La Russie reste en situation difficile. L’Allemagne, premier pays client de nos professions s’essouffle et donne des inquiétudes.

Perspectives

2016

L’année 2016 est vue en légère croissance. Les premiers mois de l’année (février et mars) montrent un très léger mieux notamment chez des professions qui connaissent une conjoncture compliquée.