Ces ETI, PME françaises qui tirent les exportations, un article des Echos fait témoigner des adhérents Artema

23 Fév 2017

En titrant : Ces entreprises centenaires qui manquent tant à la France, l’article de Sabine Delanglade met en avant ceux qu’on nomme en Allemagne les champions cachés,  » parce qu’ils créent en moyenne plus d’emplois que les autres, parce qu’ils sont brillants, et, souvent, parce qu’ils sont… vieux ».

 

Deux patrons et héritiers d’entreprises familiales adhérentes du syndicat Artema ont été invitées à témoigner sur le sujet : Antoine Raymond pour le réseau ARaymond (Fixation automobile et connectique) et Bruno Grandjean pour Redex (Fabricant de Mécanique et outillage de précision).

D’autres ETI et PME adhérentes d’Artema sont aussi des exemples d’entreprises françaises pérennes, familiales dont l’export est important : ADR, AHG (Ateliers de Haute-Garonne), BCSA, BVS, CMD, Douce Hydro, Etna, Ferry Capitain, Latty International, Lisi, Poclain Hydraulics, Techné…

Morceaux choisis :
« Stéphan Guinchard, le polytechnicien, a fait ses calculs : si la France disposait d’un réseau de leaders de taille moyenne équivalant à celui de l’Allemagne, elle aurait un million d’emplois de plus.  »
« Deux des ressorts majeurs du succès résident sans doute dans le caractère familial de l’entreprise, et une pression constante de l’innovation.(…) De ce côté, la France n’est pas mal placée, elle a encore les compétences, le crédit impôt recherche ne fait pas tout, mais il est apprécié. Le hic vient de la fluidité de la transmission des entreprises. Les deux tiers des champions cachés sont gérés par la famille du fondateur, ce n’est pas pour rien. Les intérêts de la famille sont mieux alignés sur ceux de l’entreprise : celle-ci a besoin de vision à long terme, et la famille souhaite transmettre un patrimoine valorisé de génération en génération. »

L’article complet à découvrir sur les Echos.fr : Ces entreprises centenaires qui manquent tant à la France